Des rues, de mon enfance, je me souviens.
En automne, lorsque certains faisaient brûler les feuilles mortes, l'odeur particulière des feuilles mortes brulées se répandait.
Adolescente, pour rentrer plus tard chez moi, je faisais des détours pour passer par des rues plus longues et voir d'autres maisons, d'autres portails, d'autres choses, plutôt que le même et éternel spectacle de notre famille repliée sur elle-même.
vendredi 2 octobre 2009
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